Voilà, je crois qu'on peut le dire désormais : tout part en vrille ici bas.
France est partie fin juillet, elle a dit "J'en peux plus, c'est fini", et tout a été effectivement fini.
L'appartement, les projets, le mariage, les études, la vie de couple, le bonheur. Tout a fini le 28 juillet, et je crois bien que je suis parti avec. Très très loin, dans un endroit vraiment noir. J'ai peur d'y rester un long moment.
Alors, je m'accroche, c'est sûr. Je ne perds pas espoir, jamais. Presque jamais, en fait. Mais je l'aime, je l'aime tellement, qu'il faut bien être là, prendre des claques mais se relever chaque fois, prendre des claques mais revenir au combat, se battre, se battre, se battre battre battre.
Jusqu'à l'épuisement, jusqu'au bout. Pour celle qu'on aime. Se raccrocher aux petits brins d'espoir, aux petites phrases qui échappent, aux mots qui s'envolent et qu'on ne peut retenir, à certains regards qui en disent beaucoup. Se raccrocher à tout, même par désespoir. Se raccrocher à ce qu'il reste du monde, pas grand chose mais c'est déjà ça.
Oui, je me bats, je ne fais que ça. J'y crois encore, peut-être suis-je le seul, peut-être pas, mais cest comme ça, je me bats, je ne sais faire que ça.
J'ai prié Dieu, j'ai parlé aux morts, j'ai parlé aux absents, j'ai pleuré le Ciel.
Je ne sais pas faire autre chose que me battre pour elle. Le seul amour de ma vie.
Puisse-t-elle m'entendre, un jour. Puisse-t-elle nous laisser une seconde chance. Puissions nous revivre le bonheur d'avant.
On s'aimait, putain. On s'aimait, et je crois bien que c'est au nom de cet amour que je me bats. Pour nous deux.
Puisse-t-elle nous laisser une seconde chance.
France est partie fin juillet, elle a dit "J'en peux plus, c'est fini", et tout a été effectivement fini.
L'appartement, les projets, le mariage, les études, la vie de couple, le bonheur. Tout a fini le 28 juillet, et je crois bien que je suis parti avec. Très très loin, dans un endroit vraiment noir. J'ai peur d'y rester un long moment.
Alors, je m'accroche, c'est sûr. Je ne perds pas espoir, jamais. Presque jamais, en fait. Mais je l'aime, je l'aime tellement, qu'il faut bien être là, prendre des claques mais se relever chaque fois, prendre des claques mais revenir au combat, se battre, se battre, se battre battre battre.
Jusqu'à l'épuisement, jusqu'au bout. Pour celle qu'on aime. Se raccrocher aux petits brins d'espoir, aux petites phrases qui échappent, aux mots qui s'envolent et qu'on ne peut retenir, à certains regards qui en disent beaucoup. Se raccrocher à tout, même par désespoir. Se raccrocher à ce qu'il reste du monde, pas grand chose mais c'est déjà ça.
Oui, je me bats, je ne fais que ça. J'y crois encore, peut-être suis-je le seul, peut-être pas, mais cest comme ça, je me bats, je ne sais faire que ça.
J'ai prié Dieu, j'ai parlé aux morts, j'ai parlé aux absents, j'ai pleuré le Ciel.
Je ne sais pas faire autre chose que me battre pour elle. Le seul amour de ma vie.
Puisse-t-elle m'entendre, un jour. Puisse-t-elle nous laisser une seconde chance. Puissions nous revivre le bonheur d'avant.
On s'aimait, putain. On s'aimait, et je crois bien que c'est au nom de cet amour que je me bats. Pour nous deux.
Puisse-t-elle nous laisser une seconde chance.