03 avril 2006

Lyme

Voilà, je change la formule. Un peu de musique, mais plus à la carte. La radio, c'était trop lourd, alors je préfère tout simplement agrémenter mes billets d'une petite musique de circonstance.

Ce qui veut dire que si vous lisez ce billet et que la musique vous énerve, il faut l'arrêter manuellement. Merci d'avance.

Pour ce soir, je n'ai pas grand chose à dire. Sauf que mes problèmes de santé semblent m'avoir retrouvé...

Je souffre de nouveau, pas énormément, pas comme avant, mais assez pour me recroqueviller, parfois. Ou pour retenir un cri. Ca court dans mes veines, ça n'arrête pas de courir.

L'autre jour, au JT de France 2, l'invitée des 5 dernières minutes était une championne olympique de Turin en handisport. Elle était paralysée et victime de malformations depuis son enfance. La faute à une "maladie rare" disait le présentateur. La même que la mienne...

Bref, sans vouloir revenir là-dessus, le printemps est là et avec lui, comme tous les ans, cette saloperie qui me brûle les nerfs. M'explose la tête.

Enfin, ça aurait pu être pire, évidemment. Et je n'ai pas à me plaindre.

Sans transition aucune, je vous avertis qu'en ce moment, j'essaie de rédiger mon Mémoire de philosophie politique. Je ne suis donc pas très présent. J'espère quand même rester à l'écoute de ceux qui en ont besoin. Si tel n'était pas le cas, pardon, pardon, pardon.

Je repasserai en début de semaine. Promis, je serai plus gai !

Et n'oubliez pas, mardi : on manifeste.