Je voudrais m'excuser auprès de toi. Je voudrais m'excuser, tu vois. Toujours trop tard, toujours trop lâche. Après, c'est plus facile, évidemment. Après, après, après... Mais quoi ? Comme si ça suffisait...Bien sûr que non.
Crois moi, les choses ne changeront pas de sitôt. Ô Discordia, tout finit par disparaître ici. Tout nous échappe. Même toi. Tu m'échappes, tu t'en vas mais reste, reste bon dieu, reste, c'est ce qu'on s'était promis. Tu devais rester, je devais être là pour toi.
Bien sûr ça n'a pas été le cas. J'ai toujours voulu être près de toi, j'ai toujours cru l'être. J'accepte l'échec à présent.
Je suis de ces êtres qui meurent seuls. Je le sais, et ça me terrifie, ô mon Dieu, ça me terrifie tellement de le savoir, de sentir le poids de la fatalité des choses. C'est pesant l'absence, c'est la plus pesante de toutes les choses.
Je n'ai jamais aimé que peu de gens. Mais tu en faisais partie, mon ami.
Tu as toujours compté, mon frère.
Mon petit frère. Un jour nous danserons de nouveau ensemble. Nous danserons et nous serons pour toujours des frères.
Crois moi, les choses ne changeront pas de sitôt. Ô Discordia, tout finit par disparaître ici. Tout nous échappe. Même toi. Tu m'échappes, tu t'en vas mais reste, reste bon dieu, reste, c'est ce qu'on s'était promis. Tu devais rester, je devais être là pour toi.
Bien sûr ça n'a pas été le cas. J'ai toujours voulu être près de toi, j'ai toujours cru l'être. J'accepte l'échec à présent.
Je suis de ces êtres qui meurent seuls. Je le sais, et ça me terrifie, ô mon Dieu, ça me terrifie tellement de le savoir, de sentir le poids de la fatalité des choses. C'est pesant l'absence, c'est la plus pesante de toutes les choses.
Je n'ai jamais aimé que peu de gens. Mais tu en faisais partie, mon ami.
Tu as toujours compté, mon frère.
Mon petit frère. Un jour nous danserons de nouveau ensemble. Nous danserons et nous serons pour toujours des frères.
"C'est ici qu'est la rose, c'est ici que l'on danse"